L’ancien ambassadeur d’Allemagne en Italie, au Kenya et en Pologne, Michael Gerdts, a mis en lumière les efforts de développement et d’attractivité déployés par le Togo ainsi que le leadership du Chef de l’État togolais. C’était dans une tribune publiée le vendredi 28 février et qui est consacrée à la volonté de l’Europe de maintenir et d’élargir ses relations avec l’Afrique.
Se référant aux derniers résultats du Doing Business, le diplomate a indiqué ce que « Le Togo, une nation de plus en plus stable et sûre, s’est imposée pour la deuxième année consécutive comme l’une des 10 premières économies engagées à améliorer son environnement commercial en vue d’une intégration économique plus poussée avec ses partenaires internationaux, selon la Banque mondiale ».
Le Togo dans la dynamique d’une nouvelle politique d’amélioration de son climat des affaires fortement orientée vers le secteur privé, a opéré de nombreuses et courageuses réformes réglementaires (créations d’entreprises, transfert de propriété, commerce extérieur, permis de construire, exécution des contrats, etc.). Des initiatives qui lui ont permis d’effectuer une belle progression de 40 places dans le DB 2020 (59 sur les deux dernières éditions), et se placer dans le Top 100 (97ème) des pays les plus réformateurs au monde.
Le diplomate note que ce changement très important est à mettre au crédit de Faure Gnassingbé, président actuel et récemment réélu du Togo.
Et de poursuivre : « Il a joué un rôle déterminant dans le façonnement du statut du Togo en tant que place d’affaires de choix non seulement en Afrique de l’Ouest mais sur la scène internationale, en plus de démontrer sa capacité à surmonter de graves crises internes ».
Il faut noté que depuis quelques mois déjà, le Togo anticipait, sur la nécessité de se faire valoir comme une terre privilégiée de l’investissement direct étranger et particulièrement européen, en organisant son tout premier Forum économique Togo-UE (FETUE).
L’évènement, qui a enregistré la participation de plus de 1250 personnes venues de 54 pays, s’est révélé comme un franc succès, avec plus de 852 milliards FCFA (1,3 milliards d’euros) de promesses fermes d’investissements de la partie européenne.