En Afrique comme dans tous les pays du monde, les infrastructures routières favorisent le développement socioéconomique. Au Togo, les autorités ont vite compris et ne lésine par sur les moyens pour réhabiliter les infrastructures routières.
Ainsi, en vue d’améliorer le réseau routier au cours des cinq prochaines années, les pouvoirs publics du Togo comptent débloquer une somme de 1000 milliards de francs CFA. Ceci cadre parfaitement avec les objectifs de développement durable (ODD) et cela a séduit les partenaires techniques et financiers dont la Banque africaine de développement qui se sont ralliés à la cause.
Le désengorgement du trafic routier, la réduction des coûts qui y sont liés, répondre aux problèmes des transporteurs routiers, fluidifier les échanges commerciaux entre les deux pays et favoriser le brassage culturel tel est l’objectif que s’est assigné la Banque africaine de développement en finançant les travaux de construction de la route Lomé-Cotonou à hauteur de 109 millions de dollars américains.
Pour rappel, les pouvoirs publics ont dépensé près de 1000 milliards de francs CFA de 2010 à 2018 pour la construction et la réhabilitation des routes.
