L’adhésion volontaire du Togo à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) a instauré un climat de confiance et de transparence auprès des investisseurs nationaux et étrangers.
Dans le domaine des mines, le Togo reste très attrayant. En quatre ans, de 2015 à 2019, le Togo a délivré 16 permis de recherches pour confirmer les données d’existence et de disponibilité des gisements. Le dernier date de novembre 2019 où le gouvernement a signé un mémorandum d’entente avec la société DANGOTE pour la construction d’un complexe de fertilisant et surtout de l’exploitation du phosphate. Un autre volet concerne aussi la construction d’une cimenterie.
Le gouvernement ne pense pas en rester là. Déjà, il s’est engagé à mettre en valeur d’autres gisements de matières premières dont l’étude est arrivée au stade de faisabilité ou de certification. Il s’agit entre autre de l’argile, du sable en verre, des attapulgites et bentonites, du marbre et des pierres ornementales, du gravier…
Le secteur minier contribue pour une part importante dans le développement économique du Togo. il sied de rappeler que le Togo est le troisième producteur de phosphate en Afrique subsaharienne