Les vêtements humains sont classés en deux catégories: les sous vêtements et les survêtements.
Les sous vêtements sont ceux que l’on porte avant tout autres comme leur nom l’indique et qui en principe ne doivent pas se faire voir. On peut en citer, à titre d’exemples, les slips, les soutiens-gorge, les débardeurs,…
Quant aux survêtements, ils sont ceux portés sur d’autres et qui les (sous-vêtements) couvrent entièrement. On peut nommer les chemises, les pullovers, les boubous, les robes…
Malheureusement, de nos jours, l’on constate avec dédain que les jeunes, surtout de sexe féminin, inversent le rôle de ces vêtements.
Elles portent des habits laissant au grand jour leurs sous-vêtements. Elles se font coudre des habits sans manches et en les portant elles exposent les bretelles de leurs soutiens-gorge. D’autres vont jusqu’à faire voir les dessous (slips, collants…) qu’elles portent.
En se comportant ainsi, ces (jeunes) dames font atteinte à la pudeur et attirent sur elles des regards tentatifs des hommes. Dans certains cas elles sont victimes de viols et d’agressions sexuelles. Et ce sont les hommes qu’elles taxent de tous les maux possibles, violeurs, brigands, drogués, ratés, psychopathes…
Conséquence, une fille violée est exposée aux maladies sexuellement transmissibles (VIH/SIDA, Syphilis, gonococcie…), à une grossesse indésirée et précoce, au traumatisme, à la haine envers toute personne de sexe opposé. Dans le dernier cas, certaines de ces filles deviennent plus tard des lesbiennes…
En définitive, des filles ou dames qui font un amalgame, naïvement ou volontairement, entre sous-vêtements et survêtements sont exposées à des dangers qui conditionneront leur avenir et constituent des dangers permanents à la société.
La beauté ne se trouve pas dans les vêtements et dans la manière dont on les porte, bien au contraire, elle est interne à toute personne.
Donatien ZIGGAH
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